Dans la deuxième partie du poème, Beowulf est fait roi des Goths, qui enseigne la leçon de morale de l'équité et le mérite. Parce qu'il est le plus courageux et le plus fort des guerriers, Beowulf mérite d'être fait roi, et il est. L'incident avec le dragon se produit car un esclave Geat vole une coupe d'or de sa tanière, qui enseigne les maux de la cupidité. Le dragon, en colère, attaque le royaume de Beowulf. En raison de son devoir civique à son peuple, Beowulf doit combattre le dragon et, pour protéger ses hommes, il insiste sur le fait qu'il le faire seul. Seulement un de ses guerriers, nommés Wiglaf, reste sur place pour aider, une scène qui souligne la loyauté et l'amitié. Le poème offre un clin d'œil à la puissance de la coopération que les deux ensemble vaincre le dragon, bien que Beowulf est mortellement blessé.