Le président est le commandant en chef de toutes les branches de l'armée en vertu de l'article 2, l'article 2 de la Constitution, ce qui lui donne aussi le commandement de toutes les forces de la milice de l'État en cas de service national. Toutefois, l'article 1, section 8 donne au Congrès le pouvoir de déclarer la guerre. Si les États-Unis est soudainement attaqué, le président ne peut pas attendre d'attendre que le Congrès adopte une déclaration officielle de la guerre pour faire face à la menace. Cela donne au président une certaine latitude dans l'utilisation de la force militaire sans l'autorisation du Congrès, mais les présidents ont toujours interprété cette autorité au sens large. Le War Powers Resolution de 1973 exige que le président de retirer les soldats américains du combat si le Congrès ne l'autorise pas l'utilisation de la force dans les 60 jours, mais le Congrès peut autoriser la force sans le déclarer officiellement la guerre. Depuis la Seconde Guerre mondiale, les soldats américains ont mené des guerres non déclarées en Corée, au Vietnam, en Irak et en Afghanistan.