La plupart des emplois exigent un certain degré de lecture ou d'écriture. Ainsi, faible niveau d'alphabétisation entrave la capacité d'une personne à gagner et à conserver un emploi. 2009, une étude canadienne par Scott Murray, qui a été discuté dans l'article du Vancouver Sun, "Comment faible niveau d'alphabétisation rétrécit le monde d'une personne," suggère que l'amélioration de l'alphabétisation pourrait augmenter la productivité des travailleurs et de donner une impulsion majeure à l'économie. L'étude estime que l'investissement dans les compétences canadiennes d'alphabétisation pourrait se traduire par un taux de rendement annuel de 80 à 250 pour cent, ce qui suggère que l'alphabétisation ne vraiment avoir une valeur quantitative pour la société.